Ces jeux vidéo qui méritent des cryptos
Avatars ou armes « NFT », extraction de crypto-monnaie gamifiée, crédits et obligations dans des univers virtuels, les jeux « play-to-earn » génèrent de réels revenus pour les joueurs. Des géants comme Ubisoft se penchent sur ce nouveau modèle que les investisseurs adoptent.
Cet article a été écrit par les journalistes de « Bilan ». Retrouvez les dernières actualités sur Bilan.ch
L’ampleur de la levée de fonds annoncée lundi 22 septembre a secoué la scène tech française. Avec la réalisation d’un tour de table de 680 millions d’euros, la startup Si rare – Gaming on the blockchain – devient la licorne française la mieux notée avec 4,3 milliards d’euros trois ans seulement après sa création.
Si Sorare a emporté les investisseurs, c’est parce qu’elle développe un jeu vidéo de football d’un genre spécifique : contrairement à des concurrents comme la FIFA, les cartes qui représentent les joueurs sont des NFT, c’est-à-dire des actifs numériques blockchain certifiés qui viennent en nombre plus limité être publiés, répertoriés et directement vendables de pair à pair. Trouver une étoile montante et constituer une équipe performante peut donc entraîner de réels gains financiers pour le joueur. Près de 150 millions de dollars de cartes Sorare ont été vendues sur divers marchés NFT depuis le début de l’année, y compris le contrat record de plus de 287 000 $ pour Cristiano Ronaldo en mars. Plusieurs cartes sont actuellement en vente Mer ouverte à plus de 100 000 unités.
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