La présidente fédérale Viola Amherd a inauguré aujourd’hui mardi le WEF à Davos (GR). Amherd a rappelé que la devise de l’événement, « Reconstruire la confiance », n’était pas simplement une déclaration arbitraire, mais « visait à souligner sans équivoque à quel point la confiance mutuelle au sein de la communauté internationale est actuellement en grave danger ». Les règles communes sont de plus en plus remises en question. Les idéologies autoritaires, voire totalitaires, sont parfois acceptées comme si les leçons du XXe siècle avaient été oubliées.»
Ce processus, a expliqué Amherd aux participants, « ne s’arrête pas même avant les plus grandes réalisations de l’humanité. » Les Nations Unies constatent une régression des droits de l’homme dans toutes les régions du monde et une récession démocratique mondiale. » En 2023, l’Institut international pour la démocratie rapporte un déclin du développement démocratique mondial pour la sixième année consécutive. Les conséquences de cette triste régression sur les choix de vie et la liberté des individus sont tout aussi dévastatrices que celles des effondrements économiques.»
« La confiance est facile à perdre mais difficile à gagner. Ce n’est pas une condition suffisante pour l’innovation, l’investissement et le développement économique, mais c’est certainement une condition nécessaire ! Rétablir la confiance : nous savons que c’est possible ! « D’un côté, le dialogue et le respect sont nécessaires et, de l’autre, il existe des règles claires que chacun doit s’engager à respecter », a ajouté Amherd, qui a mis en garde contre la dérive vers un autoritarisme excessif, vers les fausses nouvelles et les mensonges. comme à travers une mauvaise utilisation de l’information et la numérisation. Il convient de rappeler qu’outre le secteur politique, le secteur économique « peut et doit contribuer à restaurer la confiance ».
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