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Que numérisation progressive de l’économie et de la sociétéun phénomène qui s’est accéléré du fait des restrictions imposées par la crise pandémique et des mesures prises pour la combattre, a fortement augmenté augmentation des cyber-risques dans les secteurs public et privé, également en Suisse. Une part croissante de la criminalité est directement ou indirectement liée aux aspects informatiques ou télématiques.
Pour la justice, l’amélioration des compétences techniques et juridiques est devenue une priorité dans la gestion des enquêtes. Au niveau de crime d’ordinateurLa statistique fédérale fournit pour la première fois des données nationales et cantonales pour les années 2020 et 2021.
Dans ce contexte 2021 au Tessin ont été enregistrés 338 infractions (237 en 2020) répartis en catégories cybercriminalité économique (160 en 2020 et 255 en 2021), cybercriminalité sexuelle (53, 65) ex. Cyberdiffamation et pratiques déloyales (24.18). La collecte des données nécessitera des ajustements au cours des prochaines années, y compris procédurales, afin de les affiner et de mieux cerner la problématique.
Retour à l’activité de Section d’analyse des traces informatiques (LES HEURES) la police cantonaledéveloppé tout au long de 2021 36 demandesréalisé 72 recherches à l’appui d’autres services 1 095 analyses médico-légales informatiquestraité 43 analyses criminelles opérationnellestravaillé pendant 27 recherches d’urgence et évasion 250 demandes par e-mail reçues des utilisateurs ou d’autres autorités. De plus, il a fourni à la police judiciaire et à la gendarmerie un appui important dans les enquêtes classiques impliquant des composants informatiques.
Les activités illégales les plus courantes que Compromis des e-mails professionnels Truffle (BEC) et le attaques de rançongiciels. Les BEC envisagent l’accès illégal à un compte de messagerie (généralement une entreprise) et la découverte ultérieure d’une relation financière grâce à des techniques d’ingénierie sociale. Les escrocs, se faisant passer pour le créancier ou le PDG de l’entreprise, fournissent à l’autre partie de fausses coordonnées bancaires vers lesquelles le virement frauduleux doit être dirigé. Dans les 9 enquêtes ouvertes l’an dernier, un préjudice financier d’environ 550’000 francs a été constaté. Le deuxième type fait plutôt référence aux attaques menées pour chiffrer les données contenues dans les appareils afin de pouvoir exiger une rançon en échange de la clé de déchiffrement. Les auteurs travaillent principalement depuis l’étranger et utilisent des outils complexes qui facilitent la préservation de l’anonymat. Les crimes sont de plus en plus encaissés en crypto-monnaies.
Que la prévention c’est donc extrêmement important et la population a la possibilité de le faire se renseigner en consultant les sites internet www.cybersicuro.ch et Prévention suisse de la criminalité (PSK) https://www.skppsc.ch/it/temi/internet/. Quant à ça rapports le Centre national pour la cybersécurité (NCSC) est actif à l’adresse https://www.ncsc.admin.ch/ncsc/it/home.html.
Enfin plusieurs demandes de autorités étrangères en vertu de la Convention de Budapest sur la cybercriminalité, qui fournit une base juridique pour coopération internationale dans le cadre d’enquêtes, ils exigent que les données soient stockées sur les serveurs des entreprises tessinoises.
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