Les actions politiques d’Elly Schlein ont sans aucun doute donné au Parti démocrate un élan en matière d’innovation. Une embellie revigorante, inattendue pour le sentiment, mais qui ne change rien aux pourcentages représentés actuellement par le Parti démocrate. Les sondeurs, habituellement divisés sur tous les points, s’accordent dans ce cas sur le fait que le positionnement actuel n’est pas réussi car il cible le même électorat grillino.
Ce n’est pas un hasard si le nombre total d’axes Pd/5 chiffres ne change pas numériquement. Des fluctuations plus ou moins petites, mais elles ne changent pas la situation globale. La motivation est visible pour tous : les questions élevées au rang de leurs fleurons sont à des années-lumière des intérêts de la grande majorité des Italiens. Ius soli, maternité de substitution, adoptions homosexuelles : on ne peut pas dire qu’après ces annonces, des foules de compatriotes descendent dans les rues pour protester. En fait, il y a un désintérêt général total pour ces sujets, qui ne sont utiles que dans les talk-shows.
En revanche, pour être crédible, il faut bien prêcher et mieux parler. Et les exemples entourant Elly Schlein ne sont certainement pas convaincants pour elle, notamment en ce qui concerne le thème de la citoyenneté. En fait, le secrétaire des Démocrates a uni ses forces et a rétabli le Ius soli, qui n’était auparavant invoqué que par l’avocat du peuple, Giuseppe Conte. Mais la milliardaire suisse, qui fait de la politique en Italie, a déjà oublié les règles en vigueur dans son pays d’origine, et réclame une déréglementation complète dans notre pays : résidence en Suisse pendant au moins 10 ans ; réussir un test de langue et de connaissance des lois suisses ; ne pas avoir commis de crime ; Montrez que vous avez un emploi et que vous êtes économiquement indépendant. De plus, après avoir reçu le passeport, le nouveau citoyen est en probation pendant 5 ans et à la première infraction, sa citoyenneté lui sera révoquée.
Des règles claires, sèches, irréfutables qui s’appliquent aussi à nos compatriotes. On se demande alors facilement pourquoi il ne se lance pas dans la lutte contre le Ius soli dans son pays d’origine et ne mène pas des manifestations et des grèves sur le territoire suisse ? Le fait qu’elle soit secrétaire du Parti démocrate italien ne doit pas l’empêcher de défendre les droits bafoués des migrants dans son pays d’origine.
Il y a des doutes quant à sa capacité à le faire en Italie, car il estime que cela pourrait être un thème politiquement utile pour une campagne. Mais les droits doivent être défendus et soutenus toujours et partout. Pas seulement là où mènent les convenances politiques. Il ne s’agit donc pas d’un combat pour défendre les droits civiques. Au lieu de cela, cela s’appelle de l’opportunisme.
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