« La présence de n’est pas attendue pas de représentant italien demain à Stockholm lors de réunions sur le sujet nucléaire“. La clarification a eu lieu le soir du 27 février par le ministère de l’environnement et de la sécurité énergétiqueselon diverses sources, dont l’agence Reuterils ont cité aussi l’Italie parmi les pays disposés à accepter l’invitation par la ministre française de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher en marge du Conseil européen informel des ministres de l’énergie, des transports et des télécommunications.
L’exposant de Renaissancela fête par le président Emmanuel MacronIl avait convoqué un sommet quelques heures plus tôt avec « tous les pays qui ont une place à l’intérieur nucléaire européenqui, avec les énergies renouvelables, sera l’un des outils pour atteindre le nôtre Objectifs de neutralité climatique‘ après avoir rencontré directement dans la capitale suédoise ses homologues européens. Outre l’Italie et la France, les autres pays ont été inclus dans la liste des participants Roumanie, Slovaquie, Pologne, Hongrie, Slovénie, République tchèque, Suède, Croatie, Bulgarie, Pays-Bas et Finlande.
Le but
« Le but – dit Pannier-Runacher – est à créer l’alliance nucléaire et lancer un signal fort dans les différentes négociations européennes« . L’énergie nucléaire est l’un des investissements soutenus par la Commission européenne avec la transition éco et énergétique et les positions opposées à cette éventualité sont connues, entre autres Autriche, Allemagne et Espagne.
Là Francequi couvre la plupart de ses besoins énergétiques avec des centrales nucléaires pousse plutôt Dans l’autre sens. « toi renouvelable nucléaire – a expliqué le ministre à Stockholm – Je suis les piliers sur lesquels nous construisons notre transition énergétiquenous avons besoin des deux, et les pays doivent pouvoir déterminer leur propre bouquet énergétique“.
L’intention de Paris est de discuter »de compétences métiers, sécurité, approvisionnement, gestion des déchets« Et pour le faire avec le commissaire à l’énergie Kadri Simson. Ce n’est pas un hasard si elle apparaît également à cet égard parmi les invités du sommet.
La position de l’Italie
Bien que ne pas assister au sommet Convoqué par le ministre français, il n’est pas exclu que l’Italie puisse le faire s’ouvrir à l’hypothèse centrale dans le futur. octobre dernier, le ministre de l’environnement et de la sécurité énergétique Gilberto Picetto Fratin il a dit qu’il était en faveurexpérimenter le nucléaire de nouvelle génération pour faire face à la crise énergétique« .
Une agence vient de réaffirmer à Stockholmheures après l’invitation de Pannier-Runacher Matteo Salvini, ministre des Infrastructures et des Transports: « Investir dans la dernière génération d’énergie nucléaire propre et sûre – il expliqua – C’est un must socialement, économiquement et écologiquement. futur proche“.
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