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Le voyage de Vanity Fair à la découverte du métaverse

by Felipina Vences

L’aventure de salon de la vanité La découverte du métaverse continue : après les débuts avec la couverture dans NFT en septembre dernier, voici la première couverture d’un journal italien se déroulant dans la nouvelle dimension numérique. La protagoniste, l’artiste et performeuse Virginia Raffaele. Photographiée par Nima Benati, on la voit au centre d’une bague symbolique et multiforme : c’est une refonte en crypto art signée par le collectif suisse ValuArt, partenaire de Vanity Fair, dans cette aventure qui évoque le franchissement de la frontière entre notre réalité et notre réalité rappelle celle du métavers. . C’est une couverture qui se transforme et prend vie : il suffit d’encadrer le code QR imprimé à côté de l’image avec votre smartphone.

Dans le numéro, qui sera disponible en kiosque à partir de demain 16 février, l’humoriste romain raconte une histoire inattendue. « Ado, j’étais le bouffon du groupe », se souvient Virginia Raffaele, qui porte son spectacle de théâtre à travers l’Italie Samusa et on verra ça au casting Lol – Celui qui rit est éliminé sur Prime Video 24 février «J’étais une sorte de gremlin, un nerd, avec des lunettes, des bretelles, une frange et de longues jambes avec un buste court. Je me sentais différente et c’est comme ça que j’ai montré mon talent : j’étais la plus belle ». C’est un sentiment qui n’a pas changé avec le temps : « Je me sens toujours pas à ma place, avec la mauvaise chemise, le mauvais sac, quelque chose qui n’est pas parfait. Je ne me suis jamais totalement accepté. La vérité est que j’ai un côté mélancolique très fort ». La confession continue d’aborder le sujet de la beauté (« Je suis belle ? Je ne suis pas vraiment belle, et je ne le dis pas pour te complimenter. Je n’en ai pas envie »), la solitude (« Je’ j’ai appris à être seule et je suis heureuse, j’ai retrouvé l’indépendance, mais après il y a des lacunes. Il y a des moments vraiment sombres »), une proximité avec l’univers masculin (« j’ai beaucoup d’amis et j’en ai un peu plus s’amuser avec eux, parce que cette camaraderie fait que c’est parfait pour s’amuser. C’est différent avec les femmes »). Une carrière réussie qui est née d’une motivation profonde : « Pour moi, faire rire les gens est plus une vocation qu’un métier. Je ne veux pas passer pour un obsédé, mais c’est comme le missionnaire qui fait le bien : je me sens bien quand je fais du bien aux autres ».

Après le projet spécial de la couverture avec Virginia Raffaele suit la deuxième étape importante qui a atteint salon de la vanité dont tout le monde parle dans l’univers numérique : l’émergence du premier avatar d’un journal. Surnommé Vanity Player One, ce sera le personnage auquel les lecteurs pourront s’identifier pour découvrir les histoires et le contenu que le magazine présentera à l’avenir. Une semaine avant le début de la Fashion Week de Milan, Vanity Player One est le protagoniste de cette édition d’un reportage mode sans précédent. Chaque robe et accessoire qu’il portait a été photographié et retravaillé en 3D, puis transporté dans la nouvelle réalité grâce à des technologies innovantes qui permettent un nouveau look et une participation immersive. Ce n’est que le début d’un long voyage salon de la vanité Tout au long de 2022, nous nous lancerons dans un voyage d’événements et d’initiatives jamais vus auparavant dans le monde de l’édition et du divertissement.

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