L’incroyable heads-up de l’EPT Barcelone 2022 entre les Français s’est terminé dans la nuit de dimanche à lundi Jimmy Guerrero et notre Julien Bendinelli. Et la nouvelle change l’histoire du poker italien : Notre « Bendi » ramène en fait la maison brochet et un prix d’au-delà 1,4 million d’euros !
Ce fut une table finale digne d’un réalisateur de thrillers, avec des hauts et des bas et des rebondissements constants, avec notre bleu au bord de l’élimination à plusieurs reprises et toujours le protagoniste de sauvetages miraculeux.
Mais faisons à nouveau l’expérience.
nombres fous
C’était un tournoi de pachyderme : parlons d’un EPT 2 294 participantssupportant chacun un buy-in de 5 300 € pour constituer un prize pool de plus de 11 millions d’euros. Tournoi qui a duré au total 6 jours : des chiffres dignes d’un événement WSOP. Bendinelli est entré dans la table finale quatrième en jetons, derrière le Tchèque Jaros, le Norvégien Mokri, le Brésilien Kovalski et devant le Brésilien Costa et le Français Guerrero. Ce sera une table finale inoubliable.
Une puce et une chaise
Avec six joueurs restants, Giuliano rencontre l’un des refroidisseurs les plus classiques de la table finale : Guerrero ouvre depuis UTG, Bendinelli épingle AQ depuis le bouton et le Français suit avec AK. Planche lisse et nos bâtons de support de peinture – il suffit de penser – à un seul grosse blinde. Pratiquement sorti, pratiquement déjà sur le chemin du retour vers l’Italie.
« Bendinelli survit à nouveau ! »
Deux mains plus tard, notre joueur retourne le dernier jeton restant avec A 4appelé par deux adversaires chacun avec 6 5 et Q 5mais le tableau offre une excellente paire de deux et Bendinelli survit bien qu’il soit incroyablement court.
Et encore, quelques mains plus tard, l’abîme semble se matérialiser encore et encore : dans la bataille à l’aveugle, Giuliano doit putter 54 contre Q2, mais le tableau tombe avec une double paire de rois et 6s avec un as, et nous allons split-pot . Et peu de temps après, Giuliano a doublé avec K8 contre AJ, avec un full sur le flop qui a laissé son adversaire sans espoir.
Dès lors, une ascension lente et imparable. Bendinelli prend des jetons ici et là et en attendant Mokri il perd plusieurs coups et termine sixième.
Une affaire introuvable
Vient également l’élimination de Jaros. Laissé en quatre, c’est le même bleu qui élimine Kovalskiavec 8 8ème ce dernier vers 10 dix von Giuliano : Un tableau amical nous place en tête, laissant trois joueurs.
Bendinelli, Costa et le Français Guerrero essaient à plusieurs reprises d’en trouver un à ce stade loi cela satisfait tout le monde : mais le contrat tripartite ne se fait pas. Et c’est Costa qui en fait les frais, paralysant d’abord par Guerrero puis par Bendinelli (Q J du bleu contre 9 9 di Costa, avec un Q au tournant, le reléguant à la troisième place).
Juste des émotions tête haute
S’il reste partagé, le deal est disponible immédiatement : 1 422 480 € pour Bendinelli (du haut de son tapis de 44 millions), 1 250 337 € pour le Français (avec un tapis d’environ 25 millions), le heads-up, mais surtout les 70 000 € supplémentaires. débouche sur le titre convoité de champion EPT.
Tout se passe : Bendinelli est mort depuis le début, et Guerrero (qui alterne une stratégie molle au bouton avec une action préflop très agressive) récolte un énorme avantage.
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Un autre gouffre se matérialise lorsque Bendinelli, parti avec 20bb, relance avec 9 9 sur la boiterie de Guerrero avec Q dix. Le Conseil d’administration 10 8ème 6 ramène les deux à la demeure : un 2 hors de propos sur le tournant, mais la rivière 7 explose la courbe bleue bruyante.
La balle de match est cependant en sa faveur : Giuliano accélère, et dans une main avec un important avantage de pile, il ouvre avec Q 9. Le Français défend avec J 4avec le transalpin bluffant sur toutes les routes à bord du 9 dix 6 dix Q aller all-in sur la rivière sans rien en main. Bendinelli, qui n’a plus de réserve de temps, décide de faire un pli douloureux, le Français l’acclamant et se tordant la main d’un air moqueur. Cela aurait été la victoire.
Au lieu de se faire prendre dans un tilt plus que physiologique, « Bendi » persiste et garde son sang-froid, poussant l’adversaire plus loin et remportant plus de pots d’affilée.
Quelques minutes plus tard, nouvelle balle de match : on va se reposer avec le 55 de l’adversaire face à l’AJ de Bendinelli, mais le board parle français et c’est à nouveau niveau.
Un refroidisseur de science-fiction
Il a fallu une main incroyable du cinéma pour régler le différend. Et ceci est venu: J sept pour le français, 8 8ème pour Bendinelli. Le conseil semble avoir été écrit par Ron Howard : J 8ème 9 J 8ème : Full house pour les Français, quatre sur huit pour les Bleus. Les deux font tapis et finalement la courbe bleue peut exploser de joie.
brochet pour Giuliano Bendinelli avec un gain total de 1,4 million et un résultat gigantesque pour le poker italien : c’était nécessaire.
Voici le paiement final :
Giuliano Bendinelli 1 491 133 €
Jimmy Guerrero 1 250 337 €
Neville coûte 734 470 €
Fabiano Kovalski 565 280 €
Patrick Jaros 434 850 €
Kayhan Mokri 334 480 €
Photo publiée avec l’aimable autorisation de PokerStars/EPT
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