Bruxelles – C’est le jour de l’inauguration Conseiller pour le commerce et la technologie entre l’UE et les États-Unis (TCC) à Pittsburgh, Pennsylvanie. Mais il y a un pays en Europe qui ne se réjouit pas : la France, qui tente en réalité de ralentir au maximum les perspectives à long terme de l’organisme censé coordonner la coopération entre les deux côtés de l’Atlantique dans le domaine technologique du numérique. .
La base de cette position – contrairement aux 26 autres États membres de l’UE – est la Tensions entre Paris et les institutions européennes, qu’ils n’avaient pas dépensé suffisamment pour défendre les intérêts français (et par conséquent européens) dans le conflit sous-marin. Bien que l’accord entre la Grande-Bretagne, l’Australie et les États-Unis, connu sous le nom d’AUKUS, ait été à l’origine des inquiétudes de la Commission européenne quant à la possibilité de reporter la première réunion du TCC, l’administration municipale a finalement établi le nouveau partenariat international. cela n’a pas un impact aussi grave sur Bruxelles pouvoir remettre en question le partenariat avec Washington.
Selon certaines sources bruxelloises, un ReutersLe gouvernement de Paris a voulu le retirer de la déclaration commune Note sur une deuxième réunion du CCT au printemps 2022, mais aussi la proposition d’une alliance de chaîne d’approvisionnement en semi-conducteurs dans laquelle l’UE et les États-Unis se définissent comme « mutuellement dépendants ». L’approche française pousserait dans ce sens plus de prudence dans les relations européennes avec Washingtonavec la relation de confiance entre les deux rives de l’Atlantique, qu’il convient de reconstruire sur de nouvelles bases.
En attendant la déclaration commune (des sources du conseil municipal ont confirmé qu’aucune conférence de presse n’est prévue), le sujet le plus brûlant sur la table aujourd’hui concerne précisément celui-ci. Pénurie et offre de puces électroniques à moyen terme. Les responsables de la Commission ont déclaré que Washington et Bruxelles se rencontreraient pour unir leurs forces et « discuter ensemble » avec les producteurs et les partenaires mondiaux. D’autres sujets d’intérêt particulier incluent le développement et les limites de l’utilisation de l’intelligence artificielle. Concurrence et exportation des nouvelles technologies.
Pour l’Union européenne, les vice-présidents exécutifs de la Commission européenne coprésideront la réunion inaugurale du Conseil du commerce et de la technologie. Margrethe Vestager (pour le numérique) e Valdis Dombrovskis (pour l’économie). Les homologues américains sont le secrétaire d’État, Antoine Blinkenle ministre du Commerce, Gina Raimondoet le représentant commercial, Katherine Tai.
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