Après le match nul face à Barcelone, la Juve s’est inclinée au duel avec les champions d’Europe Ancelotti. Premier KO de l’été Bianconeri devant une foule dans le stade de la finale de la Coupe du monde 1994. Benzema (penalty) et Asensio ont décidé en seconde période
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Plus de quatre-vingt-dix mille personnes, qui s’est vendu au Rose Bowl de Pasadena, site de la finale de la Coupe du monde 1994, et qu’Italie-Brésil s’est soldé par un penalty de Roberto Baggio. Une histoire différente de ce qui s’est passé dans la nuit italienne, simplement amicale mais représentative. La Juve est absente après le match nul du (double) retour contre Barcelone avec les champions d’Europe en titre Ancelotti. Di Maria, Vlahovic et Kean dans le trident. Derrière encore titulaire Brême. De même blanche ils ont aligné le Type XI, qui est devenu – comme l’écrivent les Bianconeri sur les réseaux sociaux – le jeu avec le plus de téléspectateurs de tous les temps à Los Angeles et depuis 2018 avec plus d’audience aux États-Unis.
Cross Bonucci, Benzema n’a pas tort
A vos marques et partez, la Juve est bien partie. A droite, Benzema marque et le but est refusé pour hors-jeu, mais les bianconeri sont aussi à un pas de l’avantage. Pensez-y Bonucci se déguisant en Del Piero et repoussant un joli coup franc d’une vingtaine de mètres avec sa droite : la barrière est franchie e barre transversale. Le 19 de la Juve, il joue dès 1′ en binôme avec Bremer, plus Danilo et Alex Sandro sur l’aile. Les nouvelles concernant le défi avec le Barça sont au milieu (il y a des haricots avec Locatelli et Zakaria) et devant : encore de 1 ‘Di MariaAvec Vlahovic et vif. Mais c’est les attaquants en maillot qui marquent Blanc, en fait, l’attaquant. Karim Benzema et qui d’autre ? Danilo étire Vinicius dans la surface de réparation dans le virage en épingle et le Français ne se trompe pas sur un penalty.
Super Perin, puis Asensio marque
Juve en noir et blanc, Real en violet ; Quand tu retournes sur le terrain en Italie, il est environ cinq heures du matin et les hommes aussi changent. Rüdiger pour Militao e Cuadrado pour Di Maria. Mais surtout moi blanche – sur le terrain avec le milieu de terrain, les propriétaires omettent ormani Kroos-Modric-Casemiro – améliorent leurs performances. C’est Perin qui doit économiser non pas une fois, mais au moins deux fois, notamment sur Carvajal et sur un tour de Benzema. A 63′, Ancelotti change de neuf, tandis qu’Alex Sandro et Fagioli rejoignent la Juve, donc Pinsoglio pour Perin, pas avant au vrai avec une action à distance de Hazard et complétée par Asensio au centre de la surface. À ce stade, Allegri lance les jeunes en finale : Soulé, Akè, Da Graca, Cudrig et Barbieri. Il se termine 2-0 pour moi blanche.
JUVENTUS 0-2 REAL MADRID
Usine de 19′. Benzema, 69′ Asensio
JUVENTUS (4-3-3) : Périne (68′ Pinsoglio); Danilo (76′ Barbieri), Bonucci (63′ Gatti), Bremer (68′ Rugani), Alex Sandro (68′ Pellegrini) ; Zakaria, Locatelli (76′ Cudrig), Fagioli (63′ Rovella) ; Di Maria (46′ Cuadrado), Vlahovic (63′ Aké, 68′ Soulé), Kean (76′ Da Graca). Troupeau Allegri
REAL MADRID (4-3-3) : Courtois; Carvajal (Nacho 63), Militao (Rudiger 46), Alaba (Vallejo 63), Mendy (Lucas Vazquez 63) ; Modric (63′ Ceballos), Casemiro (63′ Camavinga), Kroos (63′ Tchouameni) ; Valverde (63′ Rodrygo), Benzema (63′ Asensio), Vinicius (63′ Hazard). Troupeaux Ancelotti
ammonites : Asensio (R)
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