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A la veille des Jeux olympiques de Paris (qui ont lieu du 26 juillet au 11 août), Amnesty International accuse la France de « campagne de discrimination raciale » à l’encontre des femmes musulmanes. A l’origine de ce verdict très grave, l’interdiction imposée par le ministère des Sports aux athlètes français de porter le foulard lors des compétitions. « Les autorités françaises, les fédérations sportives et le Comité international olympique doivent lever l’interdiction du hijab dans le sport français – aux Jeux olympiques et à tous les autres événements sportifs », a déclaré Amnesty dans son communiqué. « Personne ne devrait dire à une femme ce qu’elle doit ou ne doit pas porter », a ajouté la porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme, Marta Hurtado.
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L’interdiction française de porter des couvre-chefs religieux, quels qu’ils soient, s’applique évidemment bien au-delà des Jeux olympiques. En France par exemple, les footballeurs professionnels ainsi que les athlètes de basket-ball et de volley-ball ne sont pas autorisés à porter le foulard. La ministre française des Sports, Amélie Oudéa-Castera, a justifié cette mesure par une référence à la Constitution. « Notre Constitution exige la neutralité religieuse des personnes qui représentent la France, et cela s’applique à tout signe évident d’appartenance religieuse. »
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Cependant, Amnesty souligne que cette ligne non seulement exclut de nombreuses femmes des sports populaires, mais ne leur donne même pas accès aux opportunités d’entraînement et de compétition pour atteindre le niveau olympique. Quoi qu’il en soit, ajoute l’ONG de défense des droits de l’homme, il s’agit d’une « violation flagrante des règlements olympiques et des traités internationaux relatifs aux droits de l’homme ». L’exigence de neutralité de l’État est exploitée pour discriminer les femmes et les filles musulmanes.
© TOUS DROITS RÉSERVÉS
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Le Messager
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