Santé et Image (Tourisme). Aujourd’hui, la vocation touristique des régions est indissociable de la santé du territoire et on ne voudrait pas être identifié comme une ville ou une province de lixiviat ! Car c’est le risque que courent notre ville et toute la province BAT, puisqu’elles sont nécessairement et logiquement au service d’autres communes et d’autres ouvrages disséminés dans les Pouilles et si elles n’étaient pas gérées comme une « montre suisse » (et ici là là beaucoup de doutes compte tenu de la leçon de la décharge de Tranese), cela causerait un grave préjudice à la santé publique. Il s’agit d’une installation appartenant à la Région des Pouilles, plus précisément à l’AGER (Agence de gestion des déchets des Pouilles), construite avec des ressources économiques de la Région des Pouilles sur un terrain mis à disposition gratuitement par AMIU spa.
La direction déclare qu’AMIU spa « devrait » être le gestionnaire de l’établissement, mais sur ce fait il n’y a que des mots et aucun acte administratif (Memorandum of Understanding / Agreement) entre l’AGER et notre holding. Il existe également des doutes considérables quant à l’attribution directe de la direction, car AMIU spa n’est pas une société d’AGER. Nous sommes contre ce choix obsolète et dangereux, non pas idéologiquement mais concrètement, car il est inacceptable avec ces caractéristiques et avec toutes ces lacunes et ambiguïtés d’information.
On ne peut pas non plus croire la fable selon laquelle l’usine en question est uniquement destinée à desservir la décharge municipale actuellement fermée. Ayez le courage d’être clair ! Dites aux citoyens de Trani comment les choses se passent réellement et prenez la responsabilité de clarifier pour eux et les générations futures comment nous entendons utiliser notre territoire déjà battu et fragile. Notre opposition est connue depuis la campagne électorale.
D’autre part, très favorable à la construction d’une usine de compostage moderne qui, grâce aux nouvelles technologies, transforme les déchets en ressource, suivant les principes de l’économie circulaire, qui aujourd’hui plus que jamais est également présente dans les fonds du PNRR et réduit la production des déchets à presque zéro lixiviat. Nous rappelons qu’il y a des années, la conception de l’usine de compostage était à un stade avancé et faisait partie du plan de redressement de l’entreprise municipale.
Nous intervenons publiquement pour éviter une éventuelle exploitation de la position de notre conseil et de notre groupe, ainsi que par souci de clarté, puisqu’une résolution proposée au conseil municipal d’une variante urbaine pour transformer la cible serait en cours de faire la décharge zone en zone industrielle afin de compléter la construction pour favoriser et permettre la station de traitement des lixiviats.
Nous ne divulguerons jamais notre manifeste car il représente notre vision de la ville et nous honorerons la confiance que nous accordent nos concitoyens qui ont voté pour nous.
Le secrétaire Vincenzo de Simola
Le groupe conseil Tommaso Laurora, Felice Corraro, Mariangela Scalandrone, Erika Laurora
« Fanático de la cultura pop. Introvertido. Devoto pionero de la comida. Friki del tocino. Evangelista del café de toda la vida ».