cette monde se penche sur la pandémie d’obésité, dans une vidéo de huit minutes. Le facteur central est bien connu : le mode de vie moderne privilégie une alimentation riche couplée à une activité physique réduite, ce qui entraîne un bilan énergétique légèrement excessif. Mais cette équation est loin de fournir toutes les clés de ce phénomène.
Pourquoi la situation est préoccupante. La Suisse ne fait pas exception. Près de 42 % de la population adulte est en surpoids. Il suit la même courbe que le reste du monde. L’obésité comporte de nombreux risques pour la santé. En 2019, on estime que le nombre de décès dus à l’obésité dans le monde dépasse celui de la malnutrition.
Un phénomène complexe. Depuis les années 1960, l’apport calorique dans les pays riches a augmenté d’environ 30 %, tandis que la dépense énergétique pour l’activité physique a diminué en conséquence. Mais d’autres facteurs entrent également en ligne de compte :
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prédispositions génétiques qui favorisent le développement de l’obésité
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Pollution, en particulier les perturbateurs endocriniens qui affectent le métabolisme
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la qualité générale de la nourriture et les aliments hautement transformés qui sont entrés dans nos assiettes
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le rapport à l’alimentation et la satisfaction des besoins
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