La France s’est retrouvée dans le groupe D, considéré comme le favori mais qui comporte également quelques pièges. En fait, c’est le groupe avec la moyenne la plus élevée au classement FIFA. Les Transalpins occupent la deuxième place, les Pays-Bas la septième, et l’Autriche (25) et la Pologne (28) sont également assez haut dans le classement, le niveau moyen de ces quatre équipes est donc supérieur à celui du groupe B, qui se définit comme un groupe de fer par les Européens.
Les Français ont atteint la finale de trois des quatre dernières épreuves majeures, ont remporté la Coupe du monde 2018 et ont pris la deuxième place aux Championnats d’Europe 2022 et 2016. Les Bleus sont déjà vainqueurs du tournoi continental 1984 et 2000 et visent l’Allemagne et l’Allemagne. L’Espagne sur trois succès. Il y a l’amère défaite en huitièmes de finale aux tirs au but contre la Suisse il y a trois ans, qu’il faut réhabiliter. Lors des quatre derniers tournois majeurs, les Gallettos ont disputé 13 matchs en salle ou en extérieur sans en perdre avant la 90e minute et ont avancé 10 fois. La sélection transalpine, toujours dirigée par Deschamps, qui a mené son équipe aux six derniers grands rendez-vous, s’est facilement qualifiée pour l’Allemagne et a décroché son ticket après 6 journées sur 8 dans un groupe relevé avec les Pays-Bas (que vous pouvez retrouver ici). , la Grèce et l’Irlande. Par ailleurs, après Qatar 2022, la France n’a perdu que (deux fois) face aux Allemands, remportant 10 des 14 matchs disputés. Le joueur de 55 ans disposera de nombreuses options, notamment en attaque, où tout tourne autour de la superstar Mbappé, récemment arrivé au Real en provenance du PSG mais qui n’a jamais marqué en Championnat d’Europe (douze buts en Coupe du Monde). , et à seulement 25 ans). La sélection des Roosters dispose d’un bon mélange d’éléments expérimentés et de jeunes talents (6 de moins de 24 ans) pour continuer à viser des résultats prestigieux.
Après avoir raté la Coupe du monde 2022, l’Autriche retrouve un rendez-vous majeur après une qualification positive au cours de laquelle elle a battu la Suède à deux reprises et n’a perdu qu’une seule fois contre la Belgique. Il s’agit de la troisième participation consécutive des Eagles à un Championnat d’Europe, tandis que leur meilleur résultat lors d’un événement majeur est une troisième place à la Coupe du monde 1954. Lors de la dernière édition, ils ont réussi à passer pour la première fois la phase de groupes avant de s’incliner en huitièmes de finale contre l’Italie, futur champion. Les hommes de Rangnik, qui doivent se passer d’Alaba et de trois ou quatre autres joueurs blessés qui auraient pu figurer dans le onze de départ, jouent principalement en Bundesliga et pressent très fort, ce qu’ils ont réussi à faire encore et encore au cours de ces deux années de Majors : Renseignez-vous auprès de la Croatie, de l’Italie (battue pour la première fois en 62 ans) et de l’Allemagne.
La participation à un tournoi en Allemagne rappelle de bons souvenirs aux Néerlandais : lors de la Coupe du monde 1974, ils n’ont perdu qu’en finale (comme en 1978 et 2010), alors qu’ils ont remporté la seule finale européenne disputée (4 éliminations en demi-finale, un record), depuis 1988 contre l’Union soviétique d’alors (but de Gullit et but emblématique de Van Basten). Parmi les héros de cette dernière aventure figurait l’actuel sélectionneur Koeman. Lors des qualifications, les Pays-Bas n’ont perdu que contre la France (dont ils ont été éliminés lors de 7 des 8 derniers matchs) et ont remporté les six autres matchs. Le tirage au sort n’a pas été favorable même pour les phases finales, car il ne sera pas facile pour les Oranje d’atteindre les huitièmes de finale, malgré la qualité habituelle des joueurs individuels que produit toujours (ou presque toujours) la petite nation. Il y a trois ans, après trois victoires sur trois dans le groupe (dont la victoire 2-0 contre l’Autriche, encore une fois adversaire du groupe), l’aventure des Néerlandais s’est terminée en huitièmes de finale contre la République tchèque, après l’exclusion de De Ligt. . Pour les Bataves, les Aigles sont un adversaire bienvenu compte tenu de leur série ouverte de sept victoires consécutives, mais le bilan pour la Pologne est également positif : la dernière défaite remonte à 45 ans, depuis lors il y a eu 7 succès et 5 nuls. Deux dates qui nous laissent espérer dépasser la phase de poules.
Les Polonais participent à un tournoi majeur pour la quatrième fois consécutive et à un Championnat d’Europe pour la cinquième fois consécutive, mais n’ont atteint et survécu qu’une seule fois aux huitièmes de finale, contre la Suisse en 2016. Même lors de cette saison de qualification, Lewandowski et ses coéquipiers ont connu des difficultés (ils ont dû se qualifier pour les séries éliminatoires), et l’absence de l’attaquant pour cause de blessure, au moins lors du match d’ouverture, pourrait s’avérer coûteuse. L’équipe de Eastern a un meilleur bilan aux Championnats du monde, terminant troisième deux fois en neuf participations (1974 et 1982). A la tête de l’équipe, qui peut compter sur des supporters qui n’ont pas besoin de se déplacer très loin pour assister aux matchs, se trouve Probierz, le cinquième entraîneur depuis le début de l’année 2021, qui aura la lourde tâche d’améliorer la moyenne de 2 victoires ( en 2016 et 1-0) en 14 matchs au Championnat d’Europe. Lors de la dernière édition, la Pologne n’a réussi à prendre qu’un point contre l’Espagne.
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