Là Cependant, la politique suisse d’incitation à la construction de flottes de camions propres est au centre d’un débat houleux car elle est considérée comme en partie responsable de l’échec du développement ferroviaire
Gênes – À partir du 1er avril prochain, les camions à propulsion alternative en bénéficieront en Suisse nouvelles règles de circulation. En effet, le gouvernement a décidé que les véhicules « zéro émission » seraient autorisés Augmenter le tonnage et la longueur dès le printemps prochainà condition qu’ils soient équipés d’une cabine aérodynamique en gardant ce dernier point en tête.
Le gouvernement fédéral – qui suit une directive de l’Union européenne sur ce point – veut favoriser le développement d’une flotte propre. La réforme stipule que les camions électriques peuvent augmenter le tonnage jusqu’à deux tonnes, une tonne seulement pour les véhicules propulsés au GNL ou GNC. Il est également prévu que la longueur d’un camion doté d’une cabine aérodynamique puisse atteindre 18,75 mètres, contre 16,50 mètres actuellement.
En outre, le gouvernement envisageait d’organiser Prêter davantage attention aux émissions de CO 2 lors du calcul de la taxe sur les camions. La réforme devrait entrer en vigueur mi-2023. Les camions répondant aux normes Euro 4 et Euro 5 étaient déjà surutilisés l’année dernière.
Là Cependant, la politique suisse d’incitation à la construction de flottes de camions propres est au centre d’un débat houleux car elle est considérée comme en partie responsable de l’échec du développement ferroviaire. « Lors du calcul du montant du péage autoroutier, le taux d’émissions des camions est pris en compte », a rappelé à ce propos le porte-parole de l’autorité des transports Michael Müller. Il est cependant clair que le recours à un camion propre et sans péage serait finalement plus avantageux pour les entreprises de transport que le recours au train.
« Les camions, même zéro émission, imposent des coûts à la communauté en raison de l’usure des infrastructures et des routes, en plus des coûts liés à la congestion et à divers coûts externes », indique un rapport de 2019 au gouvernement. l’impact sur le péage autoroutierqui garantit à l’État 1,4 milliard d’euros par an.
La Suisse a fait des efforts pour réduire ses émissions de CO 2 dans les transports est l’une de leurs priorités, notamment dans le transport de marchandises. Jusqu’à présent avec un succès mitigé. Le Bund n’a pas atteint les objectifs fixés pour le chemin de fer au cours des deux dernières années. Entre 2019 et 2021, 900 000 poids lourds circulaient chaque année sur les routes (dont moins de la moitié en transit), soit 250 000 de plus que prévu.
Pour 2018, la Suisse s’est fixé comme objectif de limiter chaque année le nombre de poids lourds dans le pays à 650’000. Le gouvernement doit désormais soumettre des propositions à cet effet d’ici fin 2023. Amélioration du transfert ferroviaire e Une partie du trafic de transports lourds nord-sud du pays, notamment le trafic intérieur.
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