ANCÔNE – Charlie Il n’y est pas parvenu et a dû s’avouer vaincu par quelques points face au champion de France et champion d’Europe d’argent d’Ebu, Walid Ouizza. Mais la ceinture des super légers reste au Parisien de Saint Ouen Charlemagne Métonyekpon retourne en Italie, un CastelfidardoCependant, il était heureux d’avoir donné le meilleur de lui-même et d’avoir combattu au moins à armes égales avec un grand adversaire qui a ressenti ses coups pendant douze rounds. En revanche, pour le joueur de 28 ans originaire d’Osimano-Fidar, c’est la première défaite en 14 matchs en tant que boxeur professionnel : le chemin continue et une revanche s’annonce pour lui. C’est dommage pour Charly à cause du ressenti qui vient du ring Charleville Mézièreslà où les deux se sont battus samedi dernier, c’est que c’est plus que l’adversaire que le jury a sanctionné Perte de Metonyekpon, avec un verdict non unanime qui a stupéfié les nombreux supporters du boxeur italien venus en France pour l’occasion.
Dès les premiers tirs, qui ont favorisé le challenger italien, il était clair que Ouizza avait du mal à gérer l’impétuosité inattendue de Metonyekpon, poussé dans le coin par les maîtres. Andrea Gabbanelli Et Daniele Marra du club de boxe de Castelfidardo, le travail constant sur ses hanches l’épuisait. Le champion en titre a essayé par tous les moyens de repousser les attaques constantes de Metonyekpon et a essayé de garder ses distances avec des tirs à longue distance, mais la détermination de Charly était si irrépressible qu’au septième tour, le Français est allé jusqu’aux cordes avec une série de crochets et de jabs. , a été sauvé par le gong. Le résultat final, 115-114, 114-114 et 116-112 en faveur de Ouizza, c’est la victoire surprise du Français.
Beau fair-play en fin de combat, avec les deux boxeurs qui s’enlacent, mais çaamertume Charly brille dans son Mots à la fin du combat : « Mon adversaire n’était pas préparé à ma boxe. » Il a ressenti la dureté de mes coups tout au long du combat ; Je suis fier de ce que j’ai fait; Lorsque nous combattons à l’étranger, nous savons tous ce que cela signifie. J’ai fait de mon mieux et la prochaine fois, ce sera certainement mieux. La réponse du champion Ouizza : « J’ai dû beaucoup me battre parce que l’Italien voulait mon titre. » Nous nous sommes battus du premier au dernier tour et j’ai dû donner le meilleur de moi-même. Charlemagne était très dangereux à chaque tir et m’a vraiment occupé, donc je tiens à le remercier, lui et son équipe. Vive l’Italie. » Équipe Magnesi par Alessandra Brancodont fait partie Metonyekpon, a annoncé via les réseaux sociaux qu’il examinerait dans quelques mois la possibilité de demander une revanche, cette fois sur le sol italien.
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