Un manque de VAR et de technologie sur la ligne de but a condamné l’Italie à la défaite lors du match d’ouverture du Championnat d’Europe des moins de 21 ans. Les Azzurrini ont perdu 2-1 contre la France car à la 62e minute la jambe haute de Gnonto, non reconnue par l’arbitre, a lancé l’action de la finale 2-1. Avec VAR le jeu aurait certainement été revu et le but refusé. Sans VAR, cette action a décidé du jeu et a rendu le chemin beaucoup plus compliqué pour les Azzurrini. Puis le rebond : la tête de Bellanova a vu le ballon toucher le poteau et franchir la ligne avant que le Français ne rebondisse. C’était un but, il n’a pas été accordé.
Les premières minutes de jeu ont tout de suite donné une image claire des difficultés que présentait le match. Car la France, qui est considérée comme la grande favorite pour remporter la finale, a tout de suite montré une équipe physique et technique. Un milieu de terrain rapide, en idées et en mouvements, capable d’éclipser des joueurs comme Ricci, Rovella et surtout Tonali. Ce dernier, capitaine de cette équipe U21 et bientôt nouveau joueur de Newcastle, n’était pas sollicité et brillait surtout sur les terrains.
En plus du milieu de terrain, c’est l’attaquant Arnaud Kalimuendo qui a causé des problèmes à l’Italie. Né en 2002, le footballeur rennais, proche de l’Inter l’été dernier, a la vitesse et le dribble qui lui sont propres. Au but de l’avantage temporaire, le joueur, qui a grandi dans l’équipe de jeunes du PSG, est devenu le protagoniste d’un mouvement techniquement exceptionnel : un premier atterrissage au but après un centre bas de Kalulu, qui non seulement n’a pas permis à Pirola d’intervenir. , mais aussi chronométré l’innocent Carnesecchi.
La France avait plus de contrôle du ballon en première mi-temps mais l’Italie ne cherchait pas. Avant le 1-0, il avait failli prendre la tête avec une tête de Scalvini, après une demi-heure, il a égalisé avec une autre tête. Pietro Pellegri a été très libre sur un coup franc du trocart de Tonali, fausse marque préparatoire au but vainqueur qui a permis à l’Italie de revenir aux vestiaires 1-1, également grâce à un excellent arrêt de Carnesecchi juste avant le double coup de sifflet.
La France a mieux démarré la seconde mi-temps. Il a eu le mérite de prendre immédiatement le contrôle du ballon mais le but du 2-1 était le résultat d’une faute qui ne pouvait pas être manquée même sans VAR. Au lieu de cela, l’arbitre Lindhout a laissé Udogie continuer, qui a commis une ingéniosité après quelques deuxièmes buts qui ont permis à Barcola de marquer le but 2-1.
Choquée par ce nouveau désavantage, l’Italie de Nicolato a mis du temps à se remettre mais a montré une réaction de colère dans les 10 dernières minutes. À la 82e minute, il a fallu le meilleur Chevalier pour arrêter les Azzurrini avec un triple arrêt, à la 88e minute, lorsque les Azzurrini étaient en infériorité numérique, il a fallu une erreur sensationnelle de Cancellieri pour aller à bout portant. Ensuite, Bellanova s’est vu refuser le but, mépris dans le mépris.
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