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Lanceur d’alerte : qui est-ce et pourquoi l’Office italien des cartels accepte-t-il désormais les signalements anonymes ?

by León Paz

Le dénonciateur ou Lanceur d’alerte C’est une personne qui prend souvent beaucoup de risques : c’est pourquoi l’AGCM accepte désormais également les plaintes anonymes sur les questions de concurrence.

En ce qui concerne les rapports qui s’y rapportent confidentialité et le Sécurité Des données, nous avons vu que, malheureusement, même aujourd’hui, ceux qui signalent des vulnérabilités de sécurité peuvent encore prendre beaucoup de risques, en particulier envers l’administration publique. Depuis un certain temps, nous espérons également que les programmes gouvernementaux de primes aux bogues en Italie seront financés par des chercheurs et autres. Signaler des problèmes de sécurité pour les protéger tout en faisant la promotion de leur précieux travail. La Suisse l’a fait récemment, notre pays pas encore.

Cependant, il y a un autre aspect qui mérite une attention particulière, à savoir la gestion des rapports de la soi-disant Lanceur d’alerte.

Un dénonciateur – un terme qui se traduit en italien par la phrase Lanceur d’alerte – est une personne qui révèle et Plainte pratiques illégales, corruption, atteintes à la sécurité, discrimination ou harcèlement au sein de toute organisation pour protéger le public ou l’intérêt général.

Selon les rapports, le lanceur d’alerte risque des représailles de la part de l’organisation : licenciement, mutation forcée, ostracisme ou menaces à la sécurité personnelle.

Pourquoi il est important d’accepter et de traiter correctement les signalements des lanceurs d’alerte

Accepter Rapports de dénonciation et surtout, la protection de leur identité est importante pour un certain nombre de raisons.

Les plaintes des lanceurs d’alerte peuvent concerner des activités illégales, immorales ou contraires à l’éthique qui ont un impact négatif sur l’entrepriseintérêt public. Accepter les divulgations et enquêter sur les divulgations aide à prévenir d’autres dommages et à protéger la santé, la sécurité et le bien-être de la communauté.

Dans certains cas, les rapports peuvent permettre d’identifier des cas de corruption au sein d’une organisation, tels que le vol de fonds publics, la manipulation de contrats ou la violation de réglementations.

Les entreprises individuelles peuvent ensuite faire progresser le concept transparence Encourager les employés et les associés à signaler les pratiques et les politiques suspectes ou peu claires.

L’AGCM est ouverte aux lanceurs d’alerte et accepte les signalements anonymes

L’Autorité de la concurrence et des marchés (Loi antitrust italienne ou AGCM), suite à la ligne de conduite recommandée la Commission européenne et de nombreuses autorités nationales de concurrence, vient de présenter une plateforme permettant aux lanceurs d’alerte de signaler signalements anonymes.

Le Outil de dénonciation AGCM est accessible au public et permet de transmettre des informations confidentielles à l’Office des cartels violations des lois antitrust B. Des nouvelles sur la collusion sur les prix des produits, sur la division des marchés, sur les boycotts des concurrents.

Le signaleur peut se connecter au site Internet affiché par AGCM et déposer une plainte sous une forme totalement anonyme : la communication peut également être bidirectionnelle. Le dénonciateur peut même demander l’activation boîte aux lettres secrèteaccessible via un mot de passe personnel qui permet aux inspecteurs de l’AGCM de demander des informations complémentaires.

L’AGCM déclare que leadresse IP publique de l’enclenchement n’est pas enregistré. Dans tous les cas, il est possible d’utiliser un outil comme Tor Browser pour protéger davantage votre identité et voir les crimes commis par les autorités italiennes.

Pour les victimes d’attaques DDoS, le réseau Tor fait exactement cela : les protéger droit à l’anonymat d’ailleurs ancré dans le Déclaration des droits sur Internet du Parlement (année 2015).

En tout état de cause, l’AGCM demande aux lanceurs d’alerte de ne pas utiliser un PC ou appareil fourni par l’employeur pour transmettre le signalement, de ne pas connecter cet appareil au réseau de l’entreprise et de ne pas fournir les données personnelles du lanceur d’alerte.

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